EXCLUSIF. Que faisait réellement Reghecampf dans la villa familiale de Snagov ? ! Anamaria Prodan risque jusqu’à deux ans de prison + DÉCLARATION DE REGHE À GÂNDUL !

Un scandale monstre dans le monde du sport. La police a décidé qu’Anamaria Prodan et Laurențiu Reghecampf ne peuvent plus se rapprocher l’une de l’autre suite à leur altercation de vendredi soir. Selon les informations obtenues par chalonsurblog, le manager de football a tenté de provoquer l’entraîneur et d’obtenir ainsi des images compromettantes. Nous avons également découvert ce que Reghecampf faisait réellement dans la villa familiale de Snagov.

Les deux anciens partenaires ont eu une grosse dispute vendredi soir et ont été agressifs physiquement, et pas seulement verbalement. Tout s’est terminé au poste de police, où les deux hommes ont passé plusieurs heures à s’accuser mutuellement devant la justice. À l’heure actuelle, tous deux font l’objet d’une ordonnance restrictive à leur nom et la police de Snagov poursuit son enquête.

Au cours des audiences, Anamaria Prodan a déclaré que Laurențiu Reghecampf se serait rendu dans la villa familiale à Snagov pour la menacer. Jusqu’au partage des biens, la villa familiale est un bien commun, mais Reghecampf a accepté qu’elle y vive pour ne pas changer la résidence de leur fils, Bebeto.

Que faisait Reghecampf dans la villa familiale de Snagov ?

Vendredi soir, lorsque le scandale monstre entre les deux maris a éclaté, Laurenu Reghecampf s’y est rendu parce qu’un tribunal avait établi un calendrier de visite pour lui – par ordre présidentiel irrévocable, ont indiqué des sources judiciaires à chalonsurblog.

L’ordonnance présidentielle que Reghe a obtenue des juges stipule qu’il peut rendre visite à son fils et passer du temps avec lui tous les 2e et 4e week-ends du mois jusqu’à ce que le divorce soit réglé.

Selon la source citée, l’intervalle est du vendredi à 16 heures au dimanche à 20 heures. Ça explique pourquoi il est allé là-bas et a parlé à Bebeto. La nounou engagée par Anamaria Prodan l’a autorisé à entrer dans la maison et a même téléphoné au gérant, qui ne s’y est pas opposé.

Attaqué dans la rue

Reghe a parlé à Bebeto, qui lui a dit qu’il allait s’entraîner, puis l’entraîneur s’est rendu à la maison de son parrain, qui se trouve dans la clôture de la villa où vit actuellement Anamaria Prodan.

Anamaria Prodan est arrivée, entre-temps dans le quartier, et a attendu qu’il sorte de la maison des parrains pour l’attaquer dans la rue.

Les informations obtenues par chalonsurblog montrent qu’Anamaria Prodan est venue accompagnée d’une amie qui se trouvait dans la voiture et qui a filmé toute la conversation entre l’impresario et son ex-mari.

Il semble qu’elle avait tout prémédité en pensant que Laurențiu se défendrait, ce qui n’est pas arrivé.

EXCLUSIF. Que faisait réellement Reghecampf dans la villa familiale de Snagov ? ! Anamaria Prodan risque jusqu'à deux ans de prison
EXCLUSIF. Que faisait réellement Reghecampf dans la villa familiale de Snagov ? ! Anamaria Prodan risque jusqu’à deux ans de prison

Anamaria Prodan risque jusqu’à deux ans de prison

M. Reghecampf a maintenant l’intention de déposer une deuxième plainte au nom de son ex-femme, en plus de celle qui fait actuellement l’objet d’une enquête de la police d’Ilfov pour agression et autres violences. La deuxième plainte pénale concerne le non-respect de l’ordonnance du tribunal.

L’article 287, paragraphe 2, du code pénal stipule. 1 que « l’inexécution d’une décision de justice commise en a) s’opposant à l’exécution, en s’opposant à l’organe d’exécution est punie d’un emprisonnement de 3 mois à 2 ans ou d’une amende ».

Ainsi, si Anamaria Prodan était reconnue coupable de cette infraction, c’est-à-dire de ne pas avoir autorisé Laurențiu Reghecampf à rendre visite à son fils, elle pourrait même aller en prison.

Reghecampf : « Mon silence et le fait que je ne parle pas publiquement sont dus à l’amour que je porte à Bebe ».

Contacté par chalonsurblog, Laurențiu Reghecampf nous a confié en exclusivité: « 

Je ne cesserai jamais de me battre pour mon fils, mais je ne le forcerai pas à rester avec moi pendant toute la durée du calendrier fixé par le tribunal.

Il est une priorité pour moi et je comprends que je vais le protéger et ne pas le faire intervenir dans les discussions entre sa mère et moi. Je connais les pressions qu’il subit de la part de sa mère et je ne souhaite pas l’exposer.

Mon silence et le fait que je ne m’exprime pas publiquement sont dus à l’amour que je porte à Bebe. Je n’offenserai jamais la mère de mon enfant. Nous avons un enfant mineur et il souffre terriblement à cause de cette histoire. Et ce n’est pas normal qu’il soit blessé par le comportement de l’un ou l’autre de ses parents. »